Qu’est-ce que l’enfant intérieur: comment le guérir?

Nous comprenons souvent mal l’enfant intérieur. Beaucoup de gens nous décrivent comme ayant besoin d’être embrassés quand nous étions plus jeunes, mais on offre une nouvelle perspective, celle d’écouter.

Il est en chacun de nous. On en a souvent entendu parler sans vraiment savoir ce qu’il représente ni ce qu’il signifie pour nous. Dois-je m’en inquiéter ? Parce que c’est une des clés du bonheur. Encore faut-il comprendre pourquoi et comment l’écouter.

Qu’est-ce que l’enfant intérieur ? 

« Nous sommes multiples en nous, des parties de nous qui correspondent à de multiples facettes de notre évolution. L’enfant intérieur est la partie la plus sensible de nous et la plus Non seulement il est vulnérable et porte nos blessures, mais c’est aussi ce qui révèle notre authenticité. Bref, notre vrai moi.

Avec cela, oon s’écarte de la définition la plus communément entendue de l’enfant intérieur. L’enfant intérieur fait référence à l’enfant que nous étions autrefois, l’enfant qui est encore en nous et que nous avons tendance à oublier.

Elle dégage cette vision ‘naïve’ de l’enfant intérieur, le désir de guérir l’enfant intérieur et de découvrir toutes ses facettes. Selon elle, il y en a quatre :

Vulnérabilité, sensibilité, créativité, joie de vivre. Cependant, regarder sous le prisme unique de qui vous êtes à un âge particulier nie ces deux derniers aspects. Inutile de dire qu’à travers cette perspective, il existe une telle chose comme cette parentalité intérieure.

Pourquoi écouter votre enfant intérieur ?

Écouter votre enfant intérieur, c’est explorer toutes ces facettes pour trouver le meilleur en vous. La vulnérabilité est la partie de nous qui se compose de zones fragiles qui sont silencieuses parce que nous associons la vulnérabilité à l’échec.

Cela nous permet aussi de mieux nous connaître, de voir où nous sommes vulnérables et de voir clairement une certaine forme d’humanité. Accepter les parties, c’est accepter de faire de son mieux plutôt que de choisir les meilleures parties de soi et de se culpabiliser en cas d’échec, il faut comprendre que c’est humain », résume Ariane Calvo.

La sensibilité permet l’empathie et l’intuition. 

« L’empathie, c’est obtenir ce que la personne la moins sensible n’obtient jamais, explique-t-elle. C’est un manager plus humain et chaleureux, et donc plus motivant pour l’équipe. Un parent plus à l’écoute, plus attentif, comme un partenaire amoureux. » Les scènes dignes d’une utilisation efficace de la sensibilité sont innombrables.

D’autre part, selon les psychologues, l’intuition est « magique ». « Savoir où aller et ce qui se passe dans une relation si quelqu’un est toxique :

Il représente ce jeu entre rationalité et émotion, mettant l’accent sur ce que notre corps nous dit », explique-t-elle. Elle nous guide dans notre écoute.

La créativité est souvent enterrée car la peur du dévoilement de soi règne. « Accepter d’être créatif, c’est accepter de montrer une partie très intime de nous-mêmes.

Il représente la liberté d’un enfant d’observer, de planifier et de rêver de l’intérieur, sans penser à ce qu’on attend de lui ». Cette créativité que nous nous permettons en tant qu’enfants, en tant qu’adultes, nous la laissons à la recherche de normes.

On se lance à la poursuite de la réussite sociale, pas de la réussite dans la vie en termes de bonheur. « 

Bref, la créativité est la capacité à franchir ce pas dans la quête du bonheur, une façon de travailler qui permet d’éviter les impasses, de s’adapter aux crises et aux situations, et de trouver des solutions qui nous conviennent vraiment. 

Enfin, la joie de vivre est ce sentiment qui « prend plaisir à fonctionner et nous donne simplement une force vitale qui nous permet de fonctionner, de nous développer et de grandir ». Des quatre émotions principales, c’est la seule émotion positive et la seule qui se concentre exclusivement sur le présent. Les psychologues disent que la peur est une attente de l’avenir, tandis que la colère et la tristesse sont liées au passé. La joie de vivre est donc une part essentielle du bonheur.

Cette forme de surprise et d’émerveillement nous rend heureux car nous sommes ravis d’être là.

Écouter son enfant intérieur, c’est s’aimer dans sa globalité, pas seulement la partie grandissante de soi, et accepter certaines immaturités émotionnelles, ce qui est très ambivalent. C’est accepter les émotions. en même temps. » Grâce à notre enfant intérieur, nous sommes capables de sortir de notre dualité noir et blanc, de gagner en nuance, de considérer tous les aspects d’une situation et, finalement, de grandir.

Comment renouer avec mon enfant intérieur ? 

Après avoir nié cet enfant intérieur, comment dois-je l’écouter maintenant ? La première étape pour renouer avec lui est de reconnaître ce qu’il est. En découvrant les quatre côtés, mais surtout en découvrant les quatre côtés de vous-même. La sensibilité n’est pas également exprimée par les gens, tout comme la créativité ne signifie pas la même chose pour tout le monde.

La deuxième étape pour y parvenir est de faire une petite évaluation. Prenez votre temps et voyez quels moments de la vie ils représentent et aidez-nous à atteindre des jalons.

Cela vous donne une idée de votre façon de travailler ».

La façon dont chacun d’eux s’est exprimé au milieu de grands changements nous aide à nous demander ce que nous avons pu approfondir pour enfin trouver notre vrai moi.

Comme les poupées russes, chaque être humain a deux moi en lui. L’un est adulte et l’autre enfantin. Les premiers sont capables de se comporter clairement au travail et en amour, en suivant les principes de la réalité. Le second, en revanche, est emporté par des émotions débordantes, oscillant entre dramatisation inquiète et euphorie par manque de réflexion et de rétrospection.

En fait, c’est l’enfant intérieur qui guide les pas des adultes. En tant que véritable ange gardien d’une enfance heureuse et sûre, s’il est victime d’abus ou ne prend pas en charge la souffrance de ses parents, il est persécuté et place les adultes dans un contexte d’échec et de dépendance affective. en mettant A travers de nombreux témoignages, ce ne sont pas les adultes qui souffrent, mais les enfants. Par conséquent, pour être libéré du passé et trouver l’équilibre, nous devons rechercher, écouter, réconcilier et guérir notre enfant intérieur. Plus d’informations sur ce site.